Description
Au niveau M2, les étudiants peuvent, au choix, suivre un parcours « plein » (dans l’une des dominantes proposées, à savoir physique ou géologie), ou panacher avec des modules d’autres formations, moyennant l’accord des équipes enseignantes des formations concernées quant à la cohérence de leurs choix. Le choix des unités d’enseignement au sein du parcours se fait en concertation avec le responsable du parcours et l’ensemble de l’équipe enseignante. Deux parcours-type sont cependant recommandés aux étudiants en fonction de leur discipline de prédilection (géologie/géophysique ou physique/chimie). Le niveau M2 de planétologie peut déboucher sur une thèse en planétologie, mais également dans les domaines connexes de l’environnement, des géosciences ou de l’astrophysique.
Premier semestre
Les unités proposées sont les suivantes :
- UE 0 : Introduction : le système solaire et les planètes
- UE 1 : Physique du rayonnement et méthodes d’observation associées
- UE 2 : Géophysique planétaire comparée
- UE 3 : Capteurs pour l’exploration in-situ des environnements planétaires
- UE 4 : Etude des surfaces planétaires et techniques spatiales associées
- UE 5 : Physique et chimie des petits corps primitifs
- UE 6 : Exoplanètes
- UE 7 : Physiographie et évolution géologique des planètes
- UE 8 : Chimie et minéralogie des intérieurs planétaires
- UE 9 : Physique et chimie des atmosphères planétaires
- UE 10 : Systèmes climatiques et évolution des surfaces planétaires
- UE 11 : Projet de définition scientifique d’une mission spatiale
- UE 12 : Plasmas planétaires
- UE 13 : Météorites et formation du Système Solaire
- UE 14 : Stage d’initiation aux méthodes d’observation (SIMO)
L’unité UE 0 est obligatoire. Deux parcours-type sont proposés aux étudiants de M2, l’un à dominante « Enveloppes planétaires externes », l’autre à dominante « Enveloppes planétaires internes ». La définition du parcours pour un étudiant doit être effectuée en sélectionnant 6 unités d’enseignement à l’intérieur d’une dominante, qui doivent être complétées par au moins 4 unités d’enseignement à choisir dans le parcours ou dans les projets ou dans d’autres formations. Les unités d’enseignement des deux dominantes du parcours sont données dans les listes qui suivent :
Dominante « Enveloppes planétaires externes » :
- UE 1 : Physique du rayonnement et méthodes d’observation associées
- UE 3 : Capteurs pour l’exploration in-situ des environnements planétaires
- UE 5 : Physique et chimie des petits corps primitifs
- UE 6 : Exoplanètes
- UE 9 : Physique et chimie des atmosphères planétaires
- UE 12 : Plasmas planétaires
Dominante « Enveloppes planétaires internes » :
- UE 2 : Géophysique planétaire comparée
- UE 4 : Etude des surfaces planétaires et techniques spatiales associées
- UE 7 : Physiographie et évolution géologique des planètes
- UE 8 : Chimie et minéralogie des intérieurs planétaires
- UE 10 : Systèmes climatiques et évolution des surfaces planétaires
- UE 13 : Météorites et formation du Système Solaire
Stage et projet personnel :
- UE 11 : Projet de définition scientifique d’une mission spatiale
- UE 14 : Stage d’initiation aux méthodes d’observation (SIMO)
En fonction des souhaits des étudiants, et en coordination avec l’équipe enseignante, des modulations sont possibles, notamment en incorporant un module d’une autre formation, sous réserve de compatibilité d’emploi du temps et de place disponible.
Second semestre
Le second semestre (de Mars à Juin) consiste en un stage de recherche de 4 mois dans un laboratoire français ou à l’étranger qui est évaluer sur la base d’un rapport et d’une soutenance orale. Pour préparer les étudiants à ce stage, un module d’informatique permet de s’initier aux aspects majeurs de l’informatique scientifique (calculs scientifiques, visualisation, analyse de données, SIG). Les stages des promotions précédentes sont listés sur cette page
Post-Master
A la suite de notre Master Planétologie et Exploration Spatiale, la majorité des étudiants poursuivent pour en thèse de Doctorat en France et à l’étranger dans des laboratoires de recherches académiques, industriels ou dans les agences spatiales. Une partie des étudiants se réoriente vers les métiers du calcul/analyse de données dans divers domaines (géosciences, finance) et des métiers de l’enseignement et la communication (animation scientifique grand publique, enseignement secondaire).